Guide des meilleurs astrologues et voyants

Laurent Edouard s’intéressa très jeune et sans conditionnement extérieur déterminant à l’ésotérisme, comme d’autres enfants pourraient être sensibles au théâtre ou à l’équitation. Alors qu’il voulait devenir médecin, Laurent Edouard passa plus de temps à potasser les ouvrages d’Allan Kardec et à jouer avec son tarot qu’à étudier ses planches d’anatomie. C’est sans stéthoscope, mais avec son tarot qu’il soignera les âmes fragiles ou momentanément déstabilisées. Ses connaissances seront étoffées par la rencontre entre autres, d’imminents tarologues tels que Tchalaï Unger et Marcel Picard. Généreux dans la transmission de son art, Laurent Edouard a créé un blog très vivant : les chroniques de la voyance.

Laurent a trouvé un terme élégant pour définir ses clients : « les visiteurs ». Je me rends immédiatement compte que le verbe est un outil précis et précieux dans la démarche de ce tarologue. Il ne se dit pas voyant, mais intuitif. Son vocabulaire riche et soigné élève encore la qualité de sa consultation. Mon hôte commence par établir un portrait psychologique épatant, notamment une analyse détaillée de mon fonctionnement affectif, éclairant sur bien des points. Il pointe immédiatement le rapport de cause à effet de mon histoire en fonction de mon comportement présent. Le tarot devient entre les mains de Laurent un véritable outil de connaissance, de conscientisation et d’évolution. Ma visite se poursuit avec des prévisions détaillées, toujours en lien avec ma psychologie. Laurent me fait comprendre que c’est mon énergie qui permet de provoquer ou non les événements futurs. J’ai énormément apprécié mon séjour avec Monsieur Edouard, tant par la qualité de son vocabulaire, que par la créativité qu’il déploie lors de ses interprétations. De plus, alors qu’il ne se prétend pas voyant, ce tarologue m’a fait des prédictions qui se sont révélées exactes. Je compléterai ce portrait par la charmante définition que Laurent Edouard fait de la tarologie : « c’est l’art d’imaginer juste ».